Montage de la coque de Lorem Ipsum
En quelques images, l'assemblage de la coque de Lorem Ipsum.
Montage à blanc de la sole et quelques clins sur le chantier. On devine l'enture en zig-zag soigneusement poncée après assemblage.
Les collages sont réalisés à la résine époxy chargée de silice.
Merci de votre indulgence pour la qualité des photos : appareil de première génération, faibles lumières, photographe novice...
Les clins sont en deux parties, collées époxy par une enture en zig-zag, stratifiée pour plus de résistance.
Ils sont tous chanfreinés au même angle, contrôlé à la fausse-équerre.
Les trous dans les couples du mannequin permettent de placer des serre-joints.
Collage de la traverse en sapelli massif de 18 mm sur le sommet du tableau en ctp.
La traverse est plus épaisse que le contreplaqué de 15, la surépaisseur est orientée vers l'extérieur.
L'équerrage du tableau et de la marotte est réalisé sur la combinée.
Équerrage de la marotte en plusieurs passes sur la dégauchisseuse, avec le guide incliné.
À l'arrière, un petit montage collé au double-face l'empêche de basculer.
Premier collage.
L'avant de la sole est collé sur la marotte.
Pour maintenir une courbure harmonieuse, il faut brider l'extrémité des clins.
À l'arrière, le bridage est plus sérieux, à base de serre-joints mis sous tension par des ficelles.
Pour assurer le serrage, tous les moyens sont bons, y compris les plus "primitifs".
Remarquez le savant haubannage des serre-joints...
Nous sommes passés de l'âge de pierre à celui de métal...
Les blocs de plomb sont nettement plus lourds que nos cailloux.
"Démoulage" de la coque par faible lumière
L'ensemble est très léger et flexible, mais garde malgré tout sa forme.
Les clins dépassent encore à l'arrière du tableau.
Vue du tableau avant ou marotte.
Les clins ont été arasés.
La coque vide est si légère qu'on la promène partout dans la grange.
Photo GTH
Montage à blanc de la sole et quelques clins sur le chantier. On devine l'enture en zig-zag soigneusement poncée après assemblage.
Les collages sont réalisés à la résine époxy chargée de silice.


Les clins
Photo GTH
Ils sont tous chanfreinés au même angle, contrôlé à la fausse-équerre.
Les trous dans les couples du mannequin permettent de placer des serre-joints.

Tableau et marotte
Photo GTH
La traverse est plus épaisse que le contreplaqué de 15, la surépaisseur est orientée vers l'extérieur.
L'équerrage du tableau et de la marotte est réalisé sur la combinée.
Photo GTH
Équerrage de la marotte en plusieurs passes sur la dégauchisseuse, avec le guide incliné.
À l'arrière, un petit montage collé au double-face l'empêche de basculer.

Collage des clins
Photo GTH
Premier collage.
L'avant de la sole est collé sur la marotte.
Pour maintenir une courbure harmonieuse, il faut brider l'extrémité des clins.
Photo GTH
À l'arrière, le bridage est plus sérieux, à base de serre-joints mis sous tension par des ficelles.
Photo GTH
Pour assurer le serrage, tous les moyens sont bons, y compris les plus "primitifs".
Remarquez le savant haubannage des serre-joints...
Photo GTH
Nous sommes passés de l'âge de pierre à celui de métal...
Les blocs de plomb sont nettement plus lourds que nos cailloux.

La coque terminée
Photo GTH
"Démoulage" de la coque par faible lumière
L'ensemble est très léger et flexible, mais garde malgré tout sa forme.
Les clins dépassent encore à l'arrière du tableau.
Photo GTH
Vue du tableau avant ou marotte.
Les clins ont été arasés.
La coque vide est si légère qu'on la promène partout dans la grange.
